On évoque fréquemment l’épuisement maternel durant les jours et les mois suivant l’arrivée d’un bébé. Les pleurs incessants en sont souvent la cause. Cependant, les mères ne sont pas les seules affectées ; les pères aussi peuvent souffrir de cette fatigue intense et soudaine. Voici quelques astuces pour éviter la dépression.
Les pleurs, une source de dépression pour les nouveaux pères
Les mères ne sont pas toujours celles qui craquent face aux pleurs continus de leur nourrisson. Il apparaît que les pères sont également vulnérables à l’arrivée de l’enfant. Certains parents ont la chance d’avoir des bébés calmes qui pleurent rarement ou légèrement lorsqu’ils expriment un besoin, mais cette chance n’est pas universelle. Entendre son bébé pleurer du matin au soir et se sentir impuissant peut facilement mener à la déprime. Les pères, qui ne se permettent pas toujours de parler de leur mal-être, semblent être plus sensibles que les mères. La fatigue contribue également à ces dépressions qui, généralement, ne sont que temporaires.
Prenez le temps de comprendre votre bébé et de répondre à ses attentes
Rappelez-vous que votre enfant ne pleure jamais sans raison. Il est toujours possible de le calmer, mais cela devient difficile si, à chaque pleur, vous vous énervez. Les bébés ressentent les tensions, et il est quasiment impossible de calmer un bébé quand vous êtes vous-même en colère. Plus il pleure, plus vous vous mettez en colère, créant ainsi un cercle vicieux. La meilleure attitude à adopter est de rester calme. Aux premiers cris de votre bébé, inspirez profondément, et commencez par vérifier sa couche. Regardez également l’heure, il se peut que votre bébé ait faim. Il pourrait aussi avoir un malaise : trop chaud, trop froid, une colique, etc. Prenez le temps de considérer toutes les éventualités avec calme et vous verrez que tout se passera mieux.
